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Invertébrés: Les -STARS- du récif


etoile de mer S'il est un animal que tout le monde reconnaît au premier coup d'oeil, quels que soient son âge et ses connaissances du monde marin, ce sont bien les étoiles de mer.

Cet attrait pour ces échinodermes, les Astéries, dure depuis la nuit des temps. Inconsciemment, il y a quelque chose en elles qui nous marque profondément. Probablement parce qu'elles sont différentes des formes animales auxquelles nous sommes habitués et que nous lui associons des images ou des souvenirs agréables.






Leur symétrie est généralement pentaradiale, c'est à dire qu'elles se développent dans 5 directions à partir d'un axe. Bien sur, on trouve des membres de cette famille ayant de 3 à 50 bras, mais la majorité possède 5 bras. Elles font partie de l'embranchement des échinodermes comme les oursins, les crinoïdes, les holothuries et les ophiures. On regroupe les étoiles de mer dans la classe des Astéroidés. Elles ne vivent que dans les océans, elles n'ont pas de tête, et la bouche se trouve au milieu de la partie inférieure du corps, appelée surface orale, tandis que l'anus, quand elles en ont un, se trouve approximativement au centre de la partie supérieure. Echinoderme veut dire "peau hérissée d'épines" et une de leurs caractéristiques est la présence d'un squelette sous-cutané formé de plaques calcaires ayant des épines, souvent venimeuses, sur la partie supérieure. Ces plaques ne sont pas soudées ce qui leur donne une certaine souplesse. La peau elle-même est couverte d'excroissances nommées pédicellaires, en forme de petites pinces et servant, à la défense et à la capture de proies qu'elle acheminent vers la surface orale.


Un système vasculaire hydraulique

Une autre de leurs particularités est qu'elles sont dotées d'un système vasculaire hydraulique délicat, qui est une combinaison de tubes internes remplis d'un fluide qui régule l'équilibre ionique de l'animal entre l'intérieur de son corps et son environnement. Ce système consiste, schématiquement, en une prise d'eau extérieure, par un canal appelé madréporite, qui amène l'eau de mer à travers un filtre à un canal circulaire faisant la liaison avec des canaux radiaux se prolongeant dans les bras. De ces canaux radiaux partent de chaque côté des canaux latéraux dont les terminaisons sont les tubes ambulacraires. Ces pieds servent au déplacement, et également à l'acheminement de la nourriture jusqu'à la bouche. Un petit croquis est souvent plus explicite ! : http://www.biology.ucsc.edu/classes/bio136/echinodermata/asteroidea/asteroidea.html

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Photo, Julien THEODULE

L'eau ne rentre pas toute seule dans ce système vasculaire, elle est pompée par un mécanisme complexe ce qui est un facteur limitant pour leur maintenance dans nos bacs. Ce mécanisme n'est pas encore parfaitement compris, mais comporte un réseau de fines membranes et de tissus qui ne peuvent pas supporter de trop grandes fluctuations de densité. Ces changements de densité déchirent ou tordent les tissus ce qui conduit les étoiles de mer à une mort lente, et souvent on peut constater un pourrissement de l'un de leurs bras, ce qui est le signe de leur fin. Cela explique en partie pourquoi nous sommes souvent témoins de la mort de ces animaux dans nos bacs en quelques semaines ou mois à notre grande déception et sans que l'on en comprenne bien les raisons. La plupart des échinodermes ne tolère pas de variation de la salinité hors de la plage 1024 - 1026, et encore plus particulièrement les étoiles de mer qui nous intéressent dans nos bacs récifaux. Il est également impossible de savoir quelles manipulations elles ont pu subir avant d'arriver dans nos aquariums et l'achat d'une de ces étoiles de mer devient une triste loterie. De même, l'introduction accidentelle d'air dans leur corps donne un résultat tout aussi navrant.


Déplacement


Photo, Hervé ROUSSEAU
etoile N'ayant pas d'avant ni d'arrière, les étoiles de mer se déplacent dans toutes les directions que leur inspirent leur "odorat" et la topographie du terrain sur lequel elles évoluent à l'aide de leurs tubes ambulacraires. On a cru longtemps que les tubes se fixaient par succion faisant ainsi ventouse. En fait des travaux relativement récents (Hermans 1983, Flammang 1995) ont mis en évidence un système adhésif à deux glandes. Une de ces glandes sécrète un produit chimique déclenchant l'adhérence et une autre glande une substance ayant l'effet contraire. C'est donc un tampon aux bouts des tubes qui obéit à des réactions chimiques et non à des contractions vasculaires qui déclencheraient un effet de ventouse. Ces tubes, au nombre de plusieurs centaines, voir milliers, sont synchronisés ce qui est plutôt intriguant pour un animal sans cerveau !


Système nerveux

Les Astéries n'ont pas de centre de coordination comme un cerveau. Chaque bras est parcouru par un nerf radial, relié aux nerfs radiaux des autres bras par un nerf circulaire situé dans le corps. Ce nerf circulaire ne donne pas d'ordre. Quand elles se déplacent, un seul bras commande et les ordres sont transmis aux autres bras par l'intermédiaire du nerf circulaire. Ce bras "directeur" prend une attitude particulière, il est dressé et recourbé vers le haut et ses tubes ambulacraires semblent servir d'organes de détection, comme des antennes chez d'autres animaux, en ondoyant dans toutes les directions. Leur perception de l'extérieur se fait à l'aide de senseurs chimiques.


Alimentation

On est loin de tout savoir sur les régimes alimentaires des étoiles de mer mais l'emplacement de leur bouche fait qu'elles s'alimentent principalement de proies benthiques, c'est à dire vivant au niveau du sol, des proies sessiles ou plus lentes qu'elles. La majorité est carnivore, prédatrice et détritivore, se nourrissant de bivalves (moules, clams, huîtres). Certaines mangent des éponges, du plancton, des petits poissons, d'autres Astéries ou encore des tissus coralliens comme la tristement célèbre Acanthaster planci. Cela limite considérablement les espèces que nous pouvons héberger dans nos bacs et nous devrons nous limiter à celles qui mangent des détritus, des cadavres et le film organiquement enrichi d'algues et de petits animaux se trouvant à la surface des pierres. La bouche, constituée de plaques calcaires soudées, ne comporte pas d'appareil de mastication, la nourriture est digérée directement dans l'estomac. Les étoiles de mer ont la possibilité de sortir cet estomac qui ressemble à un sac en s'aidant de leurs tubes ambulacraires, pour digérer les proies trop grosses pour être avalées. Ce sac est prolongé dans les bras par des caecums, sortes de cavités, qui servent à stocker la nourriture.

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Photo, Hervé ROUSSEAU


Quelles espèces pour un bac récifal ?

Sur environ 1500 espèces répertoriées, il n'en reste plus qu'une petite quantité, encore réduite à celles importées et vendues dans le commerce aquariophile, qui conviennent pour nos petits bouts de récifs personnels. On en trouve de moins en moins au fur et à mesure que les acheteurs, n'ayant pas pu les conserver, n'en rachètent plus et les vendeurs en importent donc logiquement, de moins en moins. Il nous reste quand même quelques espèces aux couleurs attirantes. Les plus résistantes sont les Linckia sp. Dont la plus courante est L. laevigata dont la couleur bleue illumine nos bacs. On distingue différents bleus, allant de pâle, à bleu foncé en passant par bleu roi. Elle a bien un petit défaut qui est sa taille, car elle arrive à atteindre les 30 cm. Par contre, elles grandissent très lentement et ne provoquent absolument aucun dégât. L. multiflora est également très belle, bien que plus rare sur le marché, et reste de petite taille ne dépassant pas les 8 cm. Ses couleurs sont plus diversifiées mais splendides, avec des taches genre camouflage dans les tons roses, jaunes et oranges. Linckia guildingii, avec ses 15 cm adulte, nous offre de jolis tons de vert mais est capable de se faire un repas de nos Astraea ainsi que des vers tant désirés par les amateurs de lits de sable épais. Leiaster laechi est un hôte parfait pour un bac récifal et peut être confondu, sous sa forme juvénile, avec L. multiflora dont les couleurs sont relativement semblables. Mais comme les autres Leiaster elle atteint les 30 cm. A noter que Leiaster coriaceus est apte à manger des poissons de petites tailles quand ils sont endormis tel que gobies et blennies.
Celernia heffernani serait également un hôte parfait avec ses 8 cm si elle ne mangeait pas les éponges comme les Haliclona. Les Fromia sont superbes, comme F. monili et F. nodosa jaune vif, 7 cm avec la partie centrale supérieur du corps rouge ou F. indica, F. elegans et F. milliporella dans les rouges, plus grandes, environ 8 à15 cm. Mais elles résistent mal dans le temps et meurent, sans doute de faim, en quelques mois.
Plus résistante, Archaster typicus est une étoile de maintenance relativement facile. Elle aime s’ensabler dans la journée pour sortir la nuit. On la trouve assez fréquemment dans les commerces aquariophiles. Sa couleur est variable mais le plus souvent beige clair avec des taches grises, ce qui facilite son mimétisme avec le sable qui doit être de fine granulométrie pour sa maintenance correcte. A noter que pour la reproduction, le mâle, de plus petite taille, chevauche la femelle afin de rendre plus efficace la fertilisation des gamètes. Elle se nourrit principalement de détritus, de micro algues et de micro faune benthique (no DBS !) qu’elle capture en évaginant son estomac de couleur vert.

Archaster typicus
Photo, David EXCOFFIER

Les Nardoa variolata rouge bordeaux restent de petite taille mais N. noveacaledonia atteint les 20cm. Neoferdina cumingi ne fait que 6 cm. On peut citer encore les Gomphia sp. Avec G. gomphia, G. watsoni et G. rosea ainsi que les Echinaster callosus (25cm),E. luzonicus à 6 et 7 bras (pour voir des photos de ces animaux, servez vous des liens cités plus bas.)

Ce sont les principales espèces reconnues comme convenant aux aquariums récifaux mais on ne les trouvent pas toutes facilement chez les revendeurs, à part les classiques Linckia et Fromia. On trouve également des passagers clandestins dans les pierres vivantes fraîchement importées, comme les minuscules Asterina anomala et autres A.sp. ne dépassant pas 2 cm à l'âge adulte ou encore Asteropsis carinifera. Dans un lot de pierres venant des Caraïbes, malgré une mise en observation dans le bac annexe de filtration, A.carinifera a été retrouvée en train de dévorer les tissus d'un Acropora dans le bac principal !

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Photo, Julien THEODULE


Reproduction.

Les étoiles de mer sont sexuées mais n'ont pas de dimorphisme sexuel. Seul l'examen des gonades par dissection peut permettre cette différenciation. Mâles et femelles lâchent leurs gamètes en pleine eau laissant le hasard faire les choses ... Quoique, pas tout à fait ! La nature étant bien faite, elles se rassemblent en groupe, obéissant à des stimuli naturels et environnementaux et émettent des signaux chimiques quand elles sont prêtes à pondre. Les larves errent au gré des courants, dans un état planctonique se servant de cils pour nager, avant de passer à un état benthique et de devenir des adultes. Entre autres facultés, les Astéries ont un étonnant pouvoir de régénération et peuvent, à partir d'un bras, reconstituer un individu entier. La plupart des espèces ne peuvent se régénérer que si la partie centrale est intacte, et certaines autres à partir d'un simple bras. Les Linckia sp. peuvent se reproduire en se séparant d'un bras (autotomie) qui donnera naissance à une autre Lickia, tandis que le reste du corps original reconstituera le membre manquant. Ce n'est pas la peine de faire un " remake " des " Malheurs de Sophie " pour tenter l'expérience dans vos bacs ! Un bras en train de se régénérer est appelé " comète " à cause de sa ressemblance avec la représentation graphique de ce phénomène comme celle de la comète de Halley en 1681.

etoile
Photo, Christian SEITZ

http://www.calacademy.org/research/izg/echinoderm/images/linckia.jpg


Prédateurs.

Les étoiles de mer sont peu prisées par les prédateurs, leur squelette calcaire hérissé d'épines souvent venimeuses et leurs pédicellaires défensifs associés à une pauvre qualité nutritive ne les rendent pas très appétissantes. Malgré tout, il y en a toujours pour trouver ce mets délicieux comme des diodons, des grands labres, des balistes, certains crabes et mollusques, et même d'autres Astéries. Elles sont même l'unique régime de la magnifique crevette Hymenocera picta, la crevette Arlequin. En fait , si elles ne sont pas mangées ou détruites, elles semblent ne pas vieillir.

Quelques conseils et recommandations.

On voit souvent à la vente sous le nom de Protoreaster sp. ou Oreaster sp. de grosses étoiles charnues, très colorées qui paraissent artificielles; ce sont de redoutables prédateurs qu'il faut éviter d'acheter et d'introduire en bac récifal. Par contre, elles trouveront une place dans des "Fish Only", aquariums réservés aux poissons, en compagnie de poissons actifs qui ne s'en nourrissent pas. Toutes les étoiles de mer on besoin d'une eau saturée en oxygène (6.7 mg/l à 25° pour une salinité de 1025). La densité des bacs doit être comprise entre 1024 et 1026, conditions naturelles des aquariums récifaux. Il faut éviter autant que possible de les sortir de l'eau pour ne pas prendre le risque que de l'air pénètre dans leur corps. Quand on achète une étoile de mer, il faut effectuer une acclimatation lente avant de l'introduire dans le bac. Un seau, ou autre récipient réservé à cet usage exclusif, la recevra avec une partie de l'eau du transport, que vous pouvez d'ailleurs analyser chez le vendeur (ou de retour chez vous s'il devient nerveux !) à l'aide d'un densimètre ou d'un conductimètre et d'un PH mètre. Un lent goutte-à-goutte, jusqu'au remplissage du seau avec l'eau de votre aquarium, est nécessaire pour acclimater doucement l'animal à son nouvel habitat. Mais c'est ce que nous faisons pour tout nouvel hôte, n'est-ce pas ? Pour le transfert dans le bac, un doseur de cuisine d'un litre en plastique pour les petits exemplaires ou un "Tupperware" pour les plus grandes est bien utile, toujours pour éviter qu'elle soient en contact avec l'air. Il ne faut pas acheter des individus ayant des sortes de filaments sortant de leur bouche, car elles sont condamnées à brève échéance. Ainsi que celles qui présentent des signes de pourrissement des membres, et bien examiner qu'elles n'aient pas de parasites externes. Il faut avoir de très bons yeux et/ou prévoir une loupe ! Dans nos bacs où nous nous efforçons de réduire les algues au maximum en entretenant une armée d'auxiliaires herbivores et détritivores, il faut prévoir de temps en temps une alimentation complémentaire, comme une demi moule ouverte que l'on déposera la nuit à sa portée.



Considérations sur Acanthaster planci

On déplore le fait que ces étoiles de mer dévastent de larges portions de récifs coralliens et on attribue l’accroissement de leur population à une pêche intensive de leur principal prédateur, un coquillage nommé le triton géant ( Charonia tritonis ), pour fournir les boutiques de souvenirs exotiques. Les autres prédateurs connus de cette étoile de mer sont : le poisson globe Arothron hispidus, deux espèces de balistes (Balistoides viridescens, Pseudobalistes flavimarginatus), les crevettes (Hymenocera picta et H.elegans) et le ver Pherecardia striata. Ils ont tous été observés en train de se nourrir des juvéniles et des petits adultes. En temps normal, quand l’équilibre entre A. planci et ses prédateurs est respecté, ces Astéries dévorent une zone corallienne restreinte en en laissant d’autres intactes. Les coraux, qui font partie de leur régime alimentaire, sont les principaux compétiteurs pour l’espace sur les récifs et, en s’en nourrissant, elles participent à la diversification des espèces coralliennes en libérant de la place pour de nouvelles larves. A. planci a donc un rôle important et nécessaire pour le récif, d’autant plus qu’elle choisit de préférence comme proie des coraux durs à petits polypes émettant des signaux chimiques de stress ou de maladie. Le docteur Chuck Birkeland de l’Université de Guam a constaté à la suite d’études, qu’il y avait périodiquement des explosions démographiques d’Acanthaster planci en relation avec des chutes anormales de pluies. Quand ces intempéries exceptionnelles surviennent, elles provoquent un enrichissement conséquent des lagons en nutriments. Les larves d’A. planci mettent environ 3 ans pour devenir adultes et des observations d’invasions massives sont constatées à ces moments-là. Cet ordre des choses perdure depuis des millions d’années, et ce fait est prouvé par des prélèvements géologiques en profondeur sur les récifs. On peut penser que les larves d’A. planci ne sont pas les seules bénéficiaires de cet apport nutritionnel et qu’il profite également à C. tritonis, rééquilibrant ainsi les forces en présence. Mais il est difficile d’enrayer cette pêche acharnée aux Charonia, la beauté de leur conque en étant la cause directe. Les gens aiment cette beauté et veulent se l’approprier et payent plus de 100$ pour les plus grandes et belles pièces. Un bon mois de salaire local. Le résultat est qu’une chasse outrancière et permanente lui est faite, de jour comme de nuit. A tel point que l’on commence à ne plus trouver de ces grands tritons adultes et que même les jeunes sont prélevés mettant ainsi l'espèce en danger. Les prix augmentent en même temps que leur raréfaction et l’acharnement des autochtones à les chasser pour améliorer leur niveau de vie, ce qui est, convenons-en, légitime. L’équilibre écologique se trouve bouleversé et on assiste à une dévastation inquiétante des récifs. Les poissons fuient de ces lieux où la vie disparaît et la pêche pour l’alimentation locale devient insuffisante pour nourrir les habitants. La somme totale des bénéfices individuels que rapporte la vente de ces coquillages, est de très loin inférieure aux coûts entraînés pour importer de la nourriture et pour financer les études et moyens employés pour essayer d’empêcher la prolifération d’Acanthaster planci.


Pour en savoir plus sur Acanthaster planci :

http://www.aims.gov.au/pages/reflib/cot-starfish/pages/cot-q18.html







Pour en savoir plus

Photos :

http://www.livingreefimages.com/index.htm " Marine Invertebrate "
http://www.reefimages.com/Seastars/Seastars6.htm
http://www.reefimages.com/Seastars/Seastars7.htm
http://www.reefimages.com/Seastars/Seastars8.htm

Livres et liens :

Franck De GRAAF -- Aquarium Magazine août 1996
Indo Pacific Coral Reef Field Guide -- G.R.ALLEN & R.STEENE

More about Star Fish J.DALE -
http://bio.bu.edu/~jdale/starfish/morestarfish.htm

Chemosensory Orientation in Asterias forbesi J.DALE -
http://bio.bu.edu/~jdale/starfish.htm

Ronald SHIMEK Ph.D. : -- Sea Stars - Aquarium.Net Juillet 1997 -
http://www.aquarium.net/0797/0797_2.shtml

Ronald SHIMEK Ph.D :Sea Stars : The whys, why not & therefore - Aquarium.Net Avril 1998
http://www.animalnetwork.com/fish2/aqfm/1998/april/wb/default.asp

Richard CHESHER -- Charonia Research http://www.tellusconsultants.com/Thread/ACANTH.HTM
Birkeland, C.E. 1982. Terrestrial runoff as a cause of outbreaks of Acanthaster planci
(Echinodermata: Asteroidea). Marine Biology. 69:175-185.


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Article publié le 26/11/2003 par Christian Seitz ; Cet article est paru dans Aquarium Magazine n° 176, de Décembre 2000 (après correction de la rédaction n'engageant pas la responsabilité de l'auteur), ainsi que sur le site de l'ARA.

 
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